L’ADEP renforce les capacités de 40 membres du Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) sur le réseautage et l’engagement, Genre / VBG, la citoyenneté et les droits des femmes, le féminisme/ leadership féminin

Lancé officiellement depuis le 19 juin 2023 à Ouagadougou le Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) s’organise pour influencer la mise en œuvre des droits des filles et des femmes au Burkina.

Venues des 06 régions (Cascades, Centre, Centre-Ouest, Est, Hauts-Bassins et du Sud-Ouest) cibles du projet « d’appui à l’émergence du mouvement féministe au Burkina Faso », 40 jeunes filles membres du Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) ont renforcé leurs capacités sur les thématiques de :

  • Le réseautage, de l’engagement aux actions communautaires,
  • Le Genre, les VBG et les approches de lutte contre les VBG,
  • La citoyenneté et les droits des femmes,
  • Le féminisme et le leadership féminin pour la promotion des droits des filles et des femmes.

Ce processus de renforcement de capacité s’est déroulé courant le mois de Novembre au centre CAMI de Ouagadougou à travers deux sessions de formation qui a réuni pour chaque session 20 jeunes filles venues des 06 régions sur une durée de 03 jours. A l’issue de ces sessions de formation, toutes les participantes venues de six régions du Burkina Faso ont manifesté leur satisfaction et se sont engagées pour partager les connaissances acquises avec les autres membres féministes du mouvement afin de pouvoir mieux s’organiser dans les régions pour valoriser les droits des filles et des femmes.

Renforcement des capacités de 100 jeunes membres des clubs d’écoute de Tougan et Nouna sur les méthodes et techniques pour réussir son année scolaire et sur la thématique du mariage d’enfants

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Sini gnèsigui,  l’ADEP a réalisé deux ateliers de formation sur les méthodes et techniques pour réussir l‘année scolaire et sur la thématique de la protection, du mariage d’enfants avec un focus sur les canaux de dénonciation de tous les cas de VBG au profit des membres des deux clubs d’écoute de Nouna et Tougan. Les deux ateliers ont eu lieu à Nouna et Tougan respectivement le samedi 14 et 21 octobre 2023 dans la grande salle de réunion de la mairie de Nouna et dans une salle de réunion de la Direction en charge du Genre de Tougan.

Plus de 100 jeunes ont été formés dont de 52 à Nouna (34 filles et 18 garçons) et 54 à Tougan (18 garçons et 36 filles). Les formations ont été assurées par des représentants de la Direction en charge de l‘éducation post primaires et la Direction en charge du Genre.

A Tougan, c’est le Directeur Provincial qui a fait la communication relative à la réussite scolaire. On note que les formations se sont déroulées de manière interactive sous forme de questions réponses, en laissant à chaque fois la priorité aux jeunes de répondre d’abord

Au résultat, on note une bonne participation des jeunes. La bonne mobilisation et la participation active des jeunes témoignent de leur intérêt vis-à-vis des thématiques abordées par le projet. Aussi, la présence des autorités provinciales au côté de l‘ADEP donne plus de crédibilité au projet.

Les jeunes ont d’ailleurs exprimé leur satisfaction et leur engagement à lutter contre es VBG. Dera Aichatou, élève de Horonya (Nouna) , a dit qu’elle est satisfaite de la formation. Elle a suggéré de multiplier ces séances de formation pour le bien être des jeunes. 

Le Président du club d’écoute du Horonya, Gyetus Ata Mathieu, a invité ses camarades à ne pas craindre d’utiliser les différents canaux de dénonciation que sont les services de l’action humanitaire, la police, la gendarmerie, la santé ou appeler le numéro vert de SCI 80 00 12 32 ou de contacter directement l‘animatrice de l‘ADEP. Les enfants ont promis de partager les connaissances reçues avec leurs camarades Le Project Manager du projet, qui était présent à Nouna a beaucoup apprécié la participation active des enfants qui, selon lui, était au-dessus de ses attentes. Il a dit qu’il a été témoin des multiples efforts fournis par l’ADEP pour accompagner ces jeunes à réussir.

« Célébration de la Journée Internationale de la Fille à Dédougou et Tchériba »

Dans le cadre du programme de renforcement des capacités des organisations de la société civile pour la promotion des droits de l’enfant (PROSCIDE 2022-2026), l’ADEP organise du 11 au 30 Octobre une série d’activités pour commémorer la Journée Internationale de la Fille dans les communes de Dédougou et Tchériba.

Au programme :

  • Des émissions radiophoniques sur le thème de la Journée Internationale de la Fille « Génération numérique, notre génération ».
  • Une rencontre d’échanges avec les enfants sur les droits des filles et la protection des filles,
  • Des matchs de football féminin dans les communes et les 20 établissements cibles ;
  • Des journées de sensibilisation dans 120 classes des écoles de Dédougou et Tchériba

« 11 Octobre Journée Internationale de la fille »Message de la Directrice Exécutive en cette journée Internationale de la fille

En cette journée internationale dédiée à la fille et à la jeune fille, j’ai une pensée toute particulière envers les filles des villes et des campagnes dans un Burkina Faso en proie à une crise sécuritaire et humanitaire depuis quelques années.  Dans un esprit de solidarité pour la commémoration de cette journée dédiée aux filles chaque 11 Octobre, l’Association D’appui et d’Eveil Pugsada (ADEP), par ma voix, vous adresse ses chaleureuses félicitations et vous souhaite beaucoup de courage face aux défis du moment. En effet, cette année encore, des milliers de filles n’iront pas à l’école du fait de l’insécurité et de la fermeture d’environ 23,43% de structures éducatives du pays en fin mai 2023[1]. En temps ordinaire déjà, l’accès et le maintien à l’éducation demeure un défi même au niveau communautaire pour les filles. Sous l’effet de l’insécurité, beaucoup d’entre elles seront privées de connaissances et de leurs droits humains les plus fondamentaux, notamment le droit à l’éducation, à la santé et à la protection. Oui, elles sont exposées à des formes multiples et croisées de la discrimination et de la violence sexuelle et sexiste. L’égalité entre les filles et les garçons est compromise et les progrès accomplis dans plusieurs domaines risquent d’être anéantis du jour au lendemain.

J’ose croire que l’espoir est encore permis et c’est pourquoi le thème de cette journée de commémoration, « Pour un monde de digital inclusif : innovation et technologie pour l’égalité des sexes » vient nous rappeler la nécessité d’investir dans les filles, leurs connaissances, leurs compétences ainsi que leur leadership sans oublier leur bien-être.

Aux filles du Burkina Faso, je vous encourage à vous investir dans l’espace numérique au même titre que les garçons pour vous informer, apprendre, vous épanouir, sensibiliser, dénoncer et contribuer à part entière au développement de vos communautés. Malheureusement, c’est dans ces réseaux sociaux et autres plateformes numériques que vous rencontrez en ligne, d’autres défis que sont la perversion, la discrimination, la cybercriminalité, les préjugés, les injures, les menaces et autres intimidations. Pourtant, vous constituez une source d’idées et de solutions pour impacter positivement votre environnement. Je vous invite à faire de la technologie et du numérique, un levier pour vous affirmer davantage et influencer les politiques afin de réaliser la justice de genre.

Depuis 1995, des milliers de filles bénéficient des programmes d’éducation et d’empowerment de l’ADEP. Je saisis cette tribune pour féliciter les jeunes filles et jeunes femmes nouvellement engagées dans le mouvement féministe au Burkina Faso pour amplifier leurs voix, lutter pour les droits humains des femmes et des filles et contre les Violences Basées sur le Genre.

Je rends hommage à toutes les filles qui sont actuellement dans les camps de personnes déplacées internes. Beaucoup d’entre elles ont perdu le sourire, leur dignité, leur enfance, leur jeunesse et souffrent dans leur corps et dans leur âme. Je les appelle à ne jamais désespérer en des lendemains meilleurs pour leur bonheur. Je lance un appel à nos gouvernant(e)s et partenaires au développement pour plus de ressources afin d’investir dans les filles car c’est en cela qu’elles peuvent réaliser tout leur potentiel.  A toutes et tous, notre pays a besoin de tolérance et de paix. Aussi, nous avons le devoir d’éduquer et de sensibiliser les filles pour en faire des citoyennes pleines. Nous avons aussi le devoir de les protéger à la maison, à l’école, dans la rue et sur les espaces numériques. Bonne commémoration de la journée internationale de la fille 2023.

Hortense LOUGUE KABORE

Directrice Exécutive


[1] Secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence

APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT D’UN VOLONTAIRE EN CREATION DE CONTENU VIDEO

Dans le cadre de la capitalisation audio-visuels des activités de l’organisations burkinabè partenaire du Centre de solidarité internationale du Saguenay-Lac-Saint-Jean (CSI-SLSJ),

CSI-SLSJ lance un appel de candidature pour le recrutement d’un Créateur, Créatrice de contenu vidéo des activités de son organisation burkinabè l’ONG PUGSADA. Tu travailles dans le secteur de la création vidéo, tu souhaites t’impliquer pour promouvoir les initiatives portées par des organisations burkinabè et tu aimes rencontrer des personnes d’autres nationalités, ce mandat est fait pour toi !

Cérémonie de clôture du projet Autonomisation des jeunes filles de Ouaga et de Komsilga avec l’appui de financier du Centre de solidarité internationale (CSI) et l’ambassade du Canada

Le projet Autonomisation des jeunes filles de Ouagadougou et de Komsilga a organisé le samedi 08 juillet 2023 au centre Cardinal Paul ZOUGRANA la cérémonie de clôture des activités du projet.

Ce fut une rencontre de présentation du bilan des activités et la remise de prix aux lauréates du troisième concours sur l’entrepreneuriat.

Pour ce troisième concours sur l’entrepreneuriat organisé par le projet, 85 filles ont participé au concours avec 24 présélectionnées et 10 lauréates récompensées. Les prix vont de 400 000F à 100 000F. Toutes les candidates présélectionnées ont reçu une attestation de participation et un arbre pour planter pour un Burkina vert.

Aussi les acteurs de mise en œuvre du projet ont été remercié pour tous les efforts fournis pour l’atteinte des objectifs du projet. Il a été délivré des attestations de reconnaissances aux responsables d’établissements secondaires (Lycée Municipal Vénégré, Lycée Marien N’Gouabi, Lycée Nelson Mandela, Lycée du Réveil et le Lycée Départemental de Komsilga).  Le Centre Féminin d’Initiative et d’Apprentissage aux Métiers (CFIAM) a également reçu une attestation de reconnaissance.

Les animateurs/trices, les points focaux et les membres du jury des concours ont reçu chacun et chacune une attestation de participation.

Lancement officiel du mouvement féministe des jeunes filles du Burkina Faso

Le19 juin 2023 dans la l’amphithéâtre du Centre National Cardinal Paul ZOUNGRANA de Ouagadougou, avec l’appui financier de la Fondation pour une Société Juste (FJS) et de Oxfam (Voix et leadership des femmes), les jeunes femmes et filles des différentes régions du Burkina Faso, ont officiellement mis en place le mouvement féministe des jeunes filles du Burkina Faso.

A la suite d’une série d’activités d’analyse du contexte du pays avec l’appui des ainées et des rencontres de renforcement des capacités dans les différentes régions, l’atelier officiel de lancement a permis de réaliser :

  • un panel sur des thématiques clés du mouvement,
  • la connexion entre jeunes féministes et devancières,
  • la validation des textes statutaires et le Mémorandum du mouvement,
  • l’installation du bureau de coordination nationale composé de 11 personnes dont 05 jeunes filles leaders au plan national et six (06) jeunes filles coordonnatrices régionales.

Il faut noter que lors de la cérémonie officiel de lancement, en plus des 120 participantes des différentes régions, une vingtaine de devancières/pionnières (composé de collectif féministe du Burkina, des femmes pionnières de la promotion des droits des filles et des femmes) ainsi que des Représentantes des associations sœurs qui œuvrent à la promotion des droits des femmes/filles, des représentant-e-s des structures étatiques en charge des questions des droits des filles et des femmes ainsi que des partenaires techniques et financiers entre autres Oxfam, diakonia, l’ambassade des Pays-Bas, l’ambassade de la suède ont officiellement marqué de leur présence à cet évènement. Pour la suite de ce processus, il est attendu des membres de la Coordination nationale et régionale, la production d’une feuille de route pour la réalisation des actions concrètes du mouvement afin de faire rayonner les droits des filles et des femmes au Burkina Faso.

Le19 juin 2023 dans la l’amphithéâtre du Centre National Cardinal Paul ZOUNGRANA de Ouagadougou, avec l’appui financier de la Fondation pour une Société Juste (FJS) et de Oxfam (Voix et leadership des femmes), les jeunes femmes et filles des différentes régions du Burkina Faso, ont officiellement mis en place le mouvement féministe des jeunes filles du Burkina Faso.

A la suite d’une série d’activités d’analyse du contexte du pays avec l’appui des ainées et des rencontres de renforcement des capacités dans les différentes régions, l’atelier officiel de lancement a permis de réaliser :

  • un panel sur des thématiques clés du mouvement,
  • la connexion entre jeunes féministes et devancières,
  • la validation des textes statutaires et le Mémorandum du mouvement,
  • l’installation du bureau de coordination nationale composé de 11 personnes dont 05 jeunes filles leaders au plan national et six (06) jeunes filles coordonnatrices régionales.

Il faut noter que lors de la cérémonie officiel de lancement, en plus des 120 participantes des différentes régions, une vingtaine de devancières/pionnières (composé de collectif féministe du Burkina, des femmes pionnières de la promotion des droits des filles et des femmes) ainsi que des Représentantes des associations sœurs qui œuvrent à la promotion des droits des femmes/filles, des représentant-e-s des structures étatiques en charge des questions des droits des filles et des femmes ainsi que des partenaires techniques et financiers entre autres Oxfam, diakonia, l’ambassade des Pays-Bas, l’ambassade de la suède ont officiellement marqué de leur présence à cet évènement.

Pour la suite de ce processus, il est attendu des membres de la Coordination nationale et régionale, la production d’une feuille de route pour la réalisation des actions concrètes du mouvement afin de faire rayonner les droits des filles et des femmes au Burkina Faso.

Droit des femmes : l’ADEP lance un mouvement féministe des jeunes filles

ORGANISATION DES RENCONTRES REGIONALES SUR LE MOUVEMENT FEMINISTE

Dans le cadre de son programme de promotion d’actions féministes, l’ADEP organise du 26 Avril au 02 Mai 2023, dans six régions du Burkina Faso, des rencontres d’échanges sur l’engagement des jeunes filles leaders à l’émergence du mouvement féminisme au Burkina Faso.

Pour ce faire, il est lancé un appel à candidature de participation aux dites rencontres pour les jeunes filles résidentes dans les chefs lieux des régions cibles suivantes:

  • Centre (Ouagadougou)
  • Haut-Bassin (Bobo Dioulasso)
  • Cascades (Banfora)
  • Est (Fada N’Gourma)
  • Centre-Ouest (Koudougou)
  • Sud-Ouest (Gaoua)

Peuvent prendre part à ces rencontres dans les régions, les jeunes filles et jeunes femmes leaders d’associations ou engagées pour la cause de la junte féminine âgées de 18 à 35 ans et résidentes dans la commune chef lieu de la région cible choisie.

Pour participer à la rencontre dans une région cible, veillez remplir la fiche de candidature ci-dessous et renvoyez à l’adresse mail suivante: ongpugsada@gmail.com , au plus tard le lundi 24 Avril 2023.

FICHE_CANDIDATURE_POUR_LA_RENCONTRE_REGIONAL_SUR_LE_FEMINISME FINAL

Pour tout renseignant complémentaire, veillez contacter Madame OUEDRAOGO Aminata au 70 09 92 96.

REALISATIONS DU PROJET « A Chances Egales » EN 2022

L’ADEP avec l’appui technique et financier d’OXFAM à travers le Programme Voix et Leadership des Femmes » /Fonds pluriannuels, met en œuvre depuis le 1er avril 2021, un projet dénommé « A Chances Egales » d’une durée de trois ans dans les communes de Boussouma et Pabré. Le projet vise à contribuer au renforcement des organisations féminines du Centre et Centre nord du Burkina Faso en vue de favoriser leur plus grande participation au dialogue social en faveur de l’amélioration de leurs conditions d’existence.

Depuis le lancement du projet, le personnel du projet, quelques membres de l’ADEP et les organisations féminines des communes de Boussouma et Pabré ont bénéficié de formation sur les thématiques tels que le genre, la citoyenneté, les droits de la femme, le leadership, le plaidoyer et la participation citoyenne des femmes. Au total, trente-quatre (34) personnes ont été touché avec une participation de 80% de femmes.

A la suite des actions de renforcement des capacités, les acteurs communautaires ont réalisé des activités de sensibilisation des communautés sur la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG) et la promotion des droits des filles et des femmes pour leurs pleines participations au développement des communes.

En outre avec les compétences acquises en plaidoyer, les organisations faitières de chaque commune ont mis en place des Espaces Voix et Leadership des Femmes « Espace VLF » avec une soixantaine de groupement et associations féminines et mixtes pour la réalisation des actions de plaidoyers auprès des autorités administratives.

L’Espace VLF de Boussouma a permis la réalisation de rencontres de plaidoyers adressées au Président de la Délégation Spéciale de Boussouma, Monsieur LOMPO Madja autour de :

  • La réhabilitation de la maison de la femme de ladite localité,
  • L’implantation dans cinq villages de la commune que sont : Boalguin-Biguissi, Forgui, Nakourtenga, Sirgui et Pana,
  • La construction de latrines à l’école Pimaire de Fatin-natenga.

Le Président de la Délégation Spéciale de Boussouma a exprimé la pertinence des sujets de plaidoyers qui permet de comprendre les réalités des besoins des filles et des femmes pour prendre des bonnes décisions selon les besoins et aspirations des populations des communes.

Le PDS assurer que certaines réalisations qui ne pourront pas être pris en compte dans le Plan de d’investissement annuel actuel seront intégrées dans le Plan d’investissement annuel prochaine.

L’Espace VLF de Pabré, a quant à lui adresser deux rencontres plaidoyers au Major du CSPS de Pabré et au Président de la Délégation Spéciale (PDS) de Pabré.

  • Au Major du CSPS de Pabré le plaidoyer a porté sur le manque de médicaments essentiels génériques dans le dépôt pharmaceutique.

Premier responsable du CSPS, a félicité le groupe de plaidoyer et a rassuré qu’il fera échos de la présente action auprès de certaines personnes ressources et du PDS pour trouver une solution le plus vite possible.

  • Au Président de la Délégation Spéciale (PDS) de Pabré le plaidoyer a porté sur la réhabilitation de la maternité du CSPS de Pabré.

Le Vice-Président a promis de restituer fidèlement le plaidoyer des femmes au Président pour une prise de décision à la hauteur des attentes du groupe de plaidoyer.

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