CAMPAGNE 16 JOURS D’ACTIVISME CONTRE LES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE – 2024

Chaque année, du 25 novembre au 10 décembre, la campagne mondiale des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre vient rappeler l’urgence de lutter partout dans le monde contre les injustice que subissent les femmes et les filles.

Cette année encore, l’ADEP s’engage avec les autres organisations dans le monde pour dire non aux violences faites aux filles et aux femmes.

Message de la Directrice Exécutive à l’occasion de la Journée Internationale de la Fille 2024

Chères filles et jeunes féministes du Burkina Faso,

Aujourd’hui, 11 octobre, jour dédié à célébrer les filles du monde entier, je suis particulièrement honorée de m’adresser à vous, depuis le cœur de l’Association D’appui et d’Eveil Pugsada (ADEP). C’est un moment précieux pour faire le bilan de notre parcours, de reconnaître et valoriser le potentiel de chaque fille.

Ces dernières années, nous avons assisté à des progrès significatifs dans la promotion des droits des filles. Cependant, de nombreux défis persistent, notamment en matière d’éducation, de santé, de violences basées sur le genre et d’autonomisation économique. Ces défis sont exacerbés par la crise sécuritaire que traverse notre pays, qui contraint de nombreuses filles à interrompre leurs études et les expose à des risques accrus de violences.

Depuis 1995, l’ADEP s’engage avec passion à renforcer la voix des filles au Burkina Faso et ailleurs dans le monde. Notre mission est d’œuvrer à l’amélioration de leur statut et de leurs conditions de vie. Nous croyons fermement que chaque fille mérite une éducation de qualité, un accès à la santé reproductive, et la protection contre les violences basées sur le genre, même dans les contextes les plus difficiles.

Aujourd’hui, nous devons nous rappeler que le chemin vers l’égalité des sexes est semé d’embûches, mais ensemble, nous pouvons surmonter ces défis. À vous, jeunes filles et jeunes féministes, sachez que vous êtes les leaders de demain. Votre courage et votre détermination à défendre vos droits inspirent non seulement vos pairs, mais également toute la société.

Dans ce contexte de crise, votre résilience est d’autant plus admirable. Malgré les obstacles, vous continuez à rêver, à apprendre et à vous battre pour un avenir meilleur.

A vous, chères filles et jeunes féministes burkinabè, le thème de la Journée internationale de la fille 2024 est « La vision des filles pour l’avenir ». Vous incarnez l’avenir de notre pays. Continuez à élever haut votre voix, à défendre vos droits et à vous battre pour un monde plus juste et égalitaire. L’ADEP s’engage à vos côtés pour vous accompagner dans cette lutte.

Nous encourageons toutes les filles à persévérer dans leurs études, malgré les obstacles. L’éducation est votre arme la plus puissante pour bâtir un avenir prometteur.

Aux parents et aux communautés, je rappelle l’importance de l’éducation pour nos enfants. Une fille éduquée est un atout pour sa famille et pour sa communauté. Investissons ensemble dans nos filles, dans leur éducation et dans leur avenir. Votre soutien est essentiel. Encouragez vos filles à poursuivre leurs rêves, à s’élever contre les injustices et à s’affirmer dans tous les domaines. Ensemble, protégeons nos filles et créons un environnement sûr où elles peuvent s’épanouir.

A nos partenaires techniques et financiers, je tiens à exprimer notre profonde gratitude pour votre soutien constant. Votre aide nous permet de mettre en œuvre des programmes qui répondent aux besoins spécifiques des filles, notamment dans les zones touchées par la crise.

Enfin, nous lançons un appel au gouvernement à faire de l’éducation et de la protection des droits des filles une priorité absolue. Il est urgent de renforcer les systèmes éducatifs, de mettre en place des mécanismes de protection efficaces et de garantir l’accès de toutes les filles à des services de qualité.  Je vous remercie.

Madame Hortense LOUGUE/KABORE

Directrice Exécutive de l’ADEP

JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FILLE 2024

(célébrée chaque année le 11 octobre depuis 2012).

Le thème de cette année 2024, « la vision des filles pour l’avenir », vise à rendre les filles autonomes, amplifier leurs voix et soutenir leur pouvoir d’agir pour façonner des stratégies et des politiques qui garantissent un avenir meilleur pour toutes les filles.

l’ADEP célèbre cette journée avec une pensée spéciale à toutes les filles du Burkina qui vivent dans les zones à forts défis sécuritaire qui rêvent certainement d’un avenir dans la paix où elles pourront vivre paisible pour jouir de leurs droits.

Nous sommes toutes et tous interpelés à soutenir les initiatives communautaires pour contribuer à sauver l’avenir de ces filles au Burkina Faso.

Bonne année 2024

L’ADEP exprime toute sa gratitude sincère à tous ses partenaires pour leurs soutiens multiformes tout au long de l’année 2023.

Que cette année 2024, nous apporte santé, bonheur, prospérité et la paix pour notre pays le Burkina Faso.

Ensemble, œuvrons pour l’épanouissement social, économique, des filles et femmes du Burkina Faso et du monde!

Message de la Directrice Exécutive à l’occasion de la campagne 2023 des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles

Chères sœurs, chères filles

Chères jeunes féministes,

Chères-chers membres de Pugsada

Chères-chers partenaires

L’Association D’appui et D’éveil Pugsada (ADEP) se joint au monde entier, à toutes les initiatives, aux activistes, aux féministes et aux organisations de défense des droits des femmes et des filles, pour prendre part à la campagne des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles.  Recevez nos salutations militantes ! Cette année, « Investir pour prévenir la violence à l’égard des femmes et des filles » est le thème retenu au niveau international pour nous inviter à mettre les moyens humains, matériels et financiers conséquents, pour empêcher et gérer la violence à l’encontre de la femme. Prévenir, c’est guérir, dit-on.  C’est un appel à l’action, pour sensibiliser les femmes et les filles elles-mêmes, leurs conjoints, leurs compagnons, leurs familles, leurs collègues, leurs amis et camarades, bref la communauté toute entière, à mettre fin à la violence et à construire un monde de paix.

Chez nous, la campagne, sous le leadership éclairé du Ministère de la Solidarité, de l’Action Humanitaire, de la Réconciliation Nationale, du Genre et de la Famille, s’inscrit sous le thème « violences sexuelles liées au terrorisme dans un contexte de crises sécuritaires et humanitaire au Burkina Faso : défis et perspectives ».  En effet, les violences sexistes et sexuelles sont une réalité et sont accrues dans les zones à haut défi sécuritaire et dans les camps de déplacés internes. Pendant que le pays est en train d’atteindre les objectifs de l’ONU SIDA en matière de lutte contre le VHI-SIDA avec un taux de prévalence de 0,6%, les violences sexuelles, s’exacerbent en plus du contexte très troublant cité plus haut. La violence à l’encontre des femmes et des filles s’exerce partout, au sein des foyers, dans les écoles, dans les lieux de travail, dans les lieux publics et surtout en contexte de conflits. Si rien n’est fait pour protéger les femmes et les filles de la violence sexuelle, la prévalence du VHI-SIDA risque de connaitre un pic.

Ces constats nous interpellent à avoir un regard bienveillant, un geste d’amour et de compassion pour toutes celles qui souffrent dans leurs corps et dans leurs âmes du fait des viols et des abus de toutes sortes. Certaines victimes se résignent et meurent dans le silence et l’injustice.

 C’est le lieu pour moi de rendre un vibrant hommage à toutes les femmes et les filles qui œuvrent inlassablement au prix de leur vie pour que les voix des sans voix soient entendues. Je m’incline devant la mémoire des braves combattantes qui ne sont plus de ce monde, qui ont lutté pour la paix, la justice sociale et pour l’émancipation de la femme.

Je voudrais féliciter mes sœurs du Burkina Faso, pour les progrès réalisés dans le domaine de nos droits humains. J’ai une pensée positive à l’endroit des hommes modèles qui s’engagent aux côtés des femmes et des filles pour la réduction des inégalités de genre et la promotion des droits humains des femmes. Des avancées sont notables au plan politique, économique et social ; toutefois,  des  défis  énormes restent encore à surmonter.

Cette adresse que je formule à l’occasion de ces 16 jours d’activisme traduit mon engagement indéfectible aux côtés des   petites filles, des jeunes filles et des jeunes femmes qui constituent les bénéficiaires des actions de l’ADEP.

A travers   la création de mouvement, la sensibilisation, les renforcements de capacités et le plaidoyer pour un monde sans violence, je garde espoir que la situation va s’améliorer en leur faveur.  En synergie avec d’autres organisations, plusieurs initiatives et activités sont en cours pour marquer cette campagne 2023.

 Ainsi, je lance un appel à l’Etat Burkinabè, aux organisations sœurs de la société civile  et aux  partenaires au développement, afin d’investir  davantage dans les femmes et les filles, dans leur autonomisation, dans leur protection et réhabilitation et dans la mise à disposition  les moyens adéquats   pour  l’exécution des  programmes les concernant.  

Au-delà des acquis pertinents engrangés jusque-là en termes de résultats, je voudrais, au nom des bénéficiaires et au mien propre, exprimer mes vis remerciements aux partenaires techniques et financiers qui soutiennent inlassablement les efforts de l’ADEP engagée contre la violence à l’encontre des filles.

M’adressant enfin aux femmes, aux filles et aux jeunes féministes du Burkina Faso, vous avez un grand rôle à jouer pour combattre la violence. Marquez votre engagement en dénonçant les cas de violences, en réclamant vos droits et en les exerçant par une participation pleine et entière au développement. Investissez les réseaux sociaux pour sensibiliser vos pairs et vos communautés, car c’est par là que nous parviendrons toutes et tous à éliminer la violence à l’égard des femmes.

              Hortense LOUGUE KABORE

              Directrice Exécutive de l’ADEP

          Chevalier de l’Ordre du Mérite Burkinabè

L’ADEP renforce les capacités de 40 membres du Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) sur le réseautage et l’engagement, Genre / VBG, la citoyenneté et les droits des femmes, le féminisme/ leadership féminin

Lancé officiellement depuis le 19 juin 2023 à Ouagadougou le Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) s’organise pour influencer la mise en œuvre des droits des filles et des femmes au Burkina.

Venues des 06 régions (Cascades, Centre, Centre-Ouest, Est, Hauts-Bassins et du Sud-Ouest) cibles du projet « d’appui à l’émergence du mouvement féministe au Burkina Faso », 40 jeunes filles membres du Mouvement des Jeunes Féministes du Faso (MJFF) ont renforcé leurs capacités sur les thématiques de :

  • Le réseautage, de l’engagement aux actions communautaires,
  • Le Genre, les VBG et les approches de lutte contre les VBG,
  • La citoyenneté et les droits des femmes,
  • Le féminisme et le leadership féminin pour la promotion des droits des filles et des femmes.

Ce processus de renforcement de capacité s’est déroulé courant le mois de Novembre au centre CAMI de Ouagadougou à travers deux sessions de formation qui a réuni pour chaque session 20 jeunes filles venues des 06 régions sur une durée de 03 jours. A l’issue de ces sessions de formation, toutes les participantes venues de six régions du Burkina Faso ont manifesté leur satisfaction et se sont engagées pour partager les connaissances acquises avec les autres membres féministes du mouvement afin de pouvoir mieux s’organiser dans les régions pour valoriser les droits des filles et des femmes.

Renforcement des capacités de 100 jeunes membres des clubs d’écoute de Tougan et Nouna sur les méthodes et techniques pour réussir son année scolaire et sur la thématique du mariage d’enfants

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Sini gnèsigui,  l’ADEP a réalisé deux ateliers de formation sur les méthodes et techniques pour réussir l‘année scolaire et sur la thématique de la protection, du mariage d’enfants avec un focus sur les canaux de dénonciation de tous les cas de VBG au profit des membres des deux clubs d’écoute de Nouna et Tougan. Les deux ateliers ont eu lieu à Nouna et Tougan respectivement le samedi 14 et 21 octobre 2023 dans la grande salle de réunion de la mairie de Nouna et dans une salle de réunion de la Direction en charge du Genre de Tougan.

Plus de 100 jeunes ont été formés dont de 52 à Nouna (34 filles et 18 garçons) et 54 à Tougan (18 garçons et 36 filles). Les formations ont été assurées par des représentants de la Direction en charge de l‘éducation post primaires et la Direction en charge du Genre.

A Tougan, c’est le Directeur Provincial qui a fait la communication relative à la réussite scolaire. On note que les formations se sont déroulées de manière interactive sous forme de questions réponses, en laissant à chaque fois la priorité aux jeunes de répondre d’abord

Au résultat, on note une bonne participation des jeunes. La bonne mobilisation et la participation active des jeunes témoignent de leur intérêt vis-à-vis des thématiques abordées par le projet. Aussi, la présence des autorités provinciales au côté de l‘ADEP donne plus de crédibilité au projet.

Les jeunes ont d’ailleurs exprimé leur satisfaction et leur engagement à lutter contre es VBG. Dera Aichatou, élève de Horonya (Nouna) , a dit qu’elle est satisfaite de la formation. Elle a suggéré de multiplier ces séances de formation pour le bien être des jeunes. 

Le Président du club d’écoute du Horonya, Gyetus Ata Mathieu, a invité ses camarades à ne pas craindre d’utiliser les différents canaux de dénonciation que sont les services de l’action humanitaire, la police, la gendarmerie, la santé ou appeler le numéro vert de SCI 80 00 12 32 ou de contacter directement l‘animatrice de l‘ADEP. Les enfants ont promis de partager les connaissances reçues avec leurs camarades Le Project Manager du projet, qui était présent à Nouna a beaucoup apprécié la participation active des enfants qui, selon lui, était au-dessus de ses attentes. Il a dit qu’il a été témoin des multiples efforts fournis par l’ADEP pour accompagner ces jeunes à réussir.

« Célébration de la Journée Internationale de la Fille à Dédougou et Tchériba »

Dans le cadre du programme de renforcement des capacités des organisations de la société civile pour la promotion des droits de l’enfant (PROSCIDE 2022-2026), l’ADEP organise du 11 au 30 Octobre une série d’activités pour commémorer la Journée Internationale de la Fille dans les communes de Dédougou et Tchériba.

Au programme :

  • Des émissions radiophoniques sur le thème de la Journée Internationale de la Fille « Génération numérique, notre génération ».
  • Une rencontre d’échanges avec les enfants sur les droits des filles et la protection des filles,
  • Des matchs de football féminin dans les communes et les 20 établissements cibles ;
  • Des journées de sensibilisation dans 120 classes des écoles de Dédougou et Tchériba

« 11 Octobre Journée Internationale de la fille »Message de la Directrice Exécutive en cette journée Internationale de la fille

En cette journée internationale dédiée à la fille et à la jeune fille, j’ai une pensée toute particulière envers les filles des villes et des campagnes dans un Burkina Faso en proie à une crise sécuritaire et humanitaire depuis quelques années.  Dans un esprit de solidarité pour la commémoration de cette journée dédiée aux filles chaque 11 Octobre, l’Association D’appui et d’Eveil Pugsada (ADEP), par ma voix, vous adresse ses chaleureuses félicitations et vous souhaite beaucoup de courage face aux défis du moment. En effet, cette année encore, des milliers de filles n’iront pas à l’école du fait de l’insécurité et de la fermeture d’environ 23,43% de structures éducatives du pays en fin mai 2023[1]. En temps ordinaire déjà, l’accès et le maintien à l’éducation demeure un défi même au niveau communautaire pour les filles. Sous l’effet de l’insécurité, beaucoup d’entre elles seront privées de connaissances et de leurs droits humains les plus fondamentaux, notamment le droit à l’éducation, à la santé et à la protection. Oui, elles sont exposées à des formes multiples et croisées de la discrimination et de la violence sexuelle et sexiste. L’égalité entre les filles et les garçons est compromise et les progrès accomplis dans plusieurs domaines risquent d’être anéantis du jour au lendemain.

J’ose croire que l’espoir est encore permis et c’est pourquoi le thème de cette journée de commémoration, « Pour un monde de digital inclusif : innovation et technologie pour l’égalité des sexes » vient nous rappeler la nécessité d’investir dans les filles, leurs connaissances, leurs compétences ainsi que leur leadership sans oublier leur bien-être.

Aux filles du Burkina Faso, je vous encourage à vous investir dans l’espace numérique au même titre que les garçons pour vous informer, apprendre, vous épanouir, sensibiliser, dénoncer et contribuer à part entière au développement de vos communautés. Malheureusement, c’est dans ces réseaux sociaux et autres plateformes numériques que vous rencontrez en ligne, d’autres défis que sont la perversion, la discrimination, la cybercriminalité, les préjugés, les injures, les menaces et autres intimidations. Pourtant, vous constituez une source d’idées et de solutions pour impacter positivement votre environnement. Je vous invite à faire de la technologie et du numérique, un levier pour vous affirmer davantage et influencer les politiques afin de réaliser la justice de genre.

Depuis 1995, des milliers de filles bénéficient des programmes d’éducation et d’empowerment de l’ADEP. Je saisis cette tribune pour féliciter les jeunes filles et jeunes femmes nouvellement engagées dans le mouvement féministe au Burkina Faso pour amplifier leurs voix, lutter pour les droits humains des femmes et des filles et contre les Violences Basées sur le Genre.

Je rends hommage à toutes les filles qui sont actuellement dans les camps de personnes déplacées internes. Beaucoup d’entre elles ont perdu le sourire, leur dignité, leur enfance, leur jeunesse et souffrent dans leur corps et dans leur âme. Je les appelle à ne jamais désespérer en des lendemains meilleurs pour leur bonheur. Je lance un appel à nos gouvernant(e)s et partenaires au développement pour plus de ressources afin d’investir dans les filles car c’est en cela qu’elles peuvent réaliser tout leur potentiel.  A toutes et tous, notre pays a besoin de tolérance et de paix. Aussi, nous avons le devoir d’éduquer et de sensibiliser les filles pour en faire des citoyennes pleines. Nous avons aussi le devoir de les protéger à la maison, à l’école, dans la rue et sur les espaces numériques. Bonne commémoration de la journée internationale de la fille 2023.

Hortense LOUGUE KABORE

Directrice Exécutive


[1] Secrétariat technique de l’éducation en situation d’urgence

APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT D’UN VOLONTAIRE EN CREATION DE CONTENU VIDEO

Dans le cadre de la capitalisation audio-visuels des activités de l’organisations burkinabè partenaire du Centre de solidarité internationale du Saguenay-Lac-Saint-Jean (CSI-SLSJ),

CSI-SLSJ lance un appel de candidature pour le recrutement d’un Créateur, Créatrice de contenu vidéo des activités de son organisation burkinabè l’ONG PUGSADA. Tu travailles dans le secteur de la création vidéo, tu souhaites t’impliquer pour promouvoir les initiatives portées par des organisations burkinabè et tu aimes rencontrer des personnes d’autres nationalités, ce mandat est fait pour toi !

Back To Top